“C’est une question de tradition familiale et de service à la communauté.”

Trevor

Analyste d’empreintes digitales latentes

En poste depuis :

22 ans

Services d’identification dactyloscopique

Région de la capitale nationale

Trevor passe ses journées à analyser des empreintes digitales relevées sur des scènes de crime d’un bout à l’autre du Canada. Avec un œil exercé par des années d’expérience, il examine une variété de types d’empreintes prélevées sur différentes surfaces, allant des documents papier aux téléphones portables. Pour Trevor, rien ne vaut la satisfaction de fournir aux policiers une piste cruciale pour faire avancer une enquête.

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À quoi ressemble votre journée de travail?

J’examine les empreintes digitales relevées sur les scènes de crime ― c’est ce que je fais tous les jours. Les types d’empreintes digitales sont très variés et il faut de nombreuses années d’expérience pour déchiffrer les images. À la GRC, nous recevons des empreintes digitales de partout au Canada.

Comment s’est déroulée la transition de l’analyse sur papier à des empreintes numériques?

C’était difficile au début parce qu’avec un document imprimé, vous travaillez avec du papier. Un relevé Live Scan, c’est un document électronique qui permet d’examiner des empreintes relevées sur des surfaces comme une table, un téléphone portable ou un objet en plastique. Il s’agit donc de considérer des détails différents. Vous devez utiliser vos compétences et vraiment regarder et analyser avant de prendre des décisions.

Qu’est-ce qui est gratifiant dans votre travail?

Réussir à identifier des empreintes digitales pour un agent qui travaille sur une scène de crime. En fournissant une piste dans une affaire, j’ai l’impression d’apporter ma contribution. Que cela donne ou non aux policiers la réponse dont ils ont besoin, au moins j’ai contribué et je leur ai fourni les résultats préliminaires. Les policiers prennent ensuite le relais, car c’est leur enquête.

Qu’est-ce qui vous a attiré dans la GRC au départ?

Mon père a travaillé pour la GRC pendant 35 ans. Au début, je voulais faire autre chose, alors je suis allé à l’université et je me suis spécialisé en géographie. Mais je suis revenu à la GRC. C’est une question de tradition familiale et de service à la communauté.