« Parfois, un membre me dit que les informations que je lui ai envoyées ont réellement contribué à faire avancer une enquête. J’ai alors l’impression d’avoir fait la différence. « 

Monika

Commis de soutien de l’Échange de renseignements en matière de criminalité

En poste depuis :

2 ans

Milton

Ontario

Monika, qui a délaissé des études en environnement de façon inattendue pour travailler à la GRC, s’épanouit aujourd’hui dans le service Échange de renseignements en matière de criminalité, où son travail soutient les enquêtes. Lorsque des policiers lui disent que son travail les a aidés dans leurs dossiers, elle ressent l’effet que son changement de carrière a eu, preuve que les emplois les plus intéressants sont parfois ceux auxquels on n’avait jamais pensé.

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Depuis quand êtes-vous à la GRC?

Deux ans. J’ai commencé en 2022, à côté, dans le Renseignement. J’étais adjointe administrative du responsable de la section des analyses criminelles, puis j’ai eu une affection intérimaire au service Échange de renseignements en matière de criminalité.

Avant de travailler à la GRC, aviez-vous un intérêt pour l’application de la loi?

Non. J’ai fait des études en environnement et en santé, ce qui n’a rien à voir. À l’époque, je regardais tous les emplois pour lesquels je serais qualifiée. J’ai vu l’offre pour mon premier poste sur le site du gouvernement du Canada et je me suis dit : « La GRC, ce serait cool! » J’ai donc postulé.

Qu’est-ce que vous aimez dans votre travail?

J’aime travailler dans les services administratifs dans le domaine de l’application de la loi. Dans le service Échange de renseignements en matière de criminalité, c’est à la fois administratif et opérationnel. Parfois, un membre me dit que les informations que je lui ai envoyées ont réellement contribué à faire avancer une enquête. J’ai alors l’impression d’avoir fait la différence. J’apprécie donc d’avoir cette perspective plus large.

À quoi ressemble votre journée?

Nous travaillons principalement avec des bases de données pour faire des vérifications opérationnelles pour nos propres membres ou des vérifications administratives pour des forces de police municipales. Nous entretenons ces bases de données en téléchargeant ou en supprimant des informations pour garder les dossiers à jour.

Vous voyez-vous rester à la GRC jusqu’à la retraite?

J’aimerais rester à la GRC. J’aime beaucoup y travailler. Je ne sais pas ce qui va se passer, mais je vois toujours des postes s’ouvrir ici ou ailleurs au Canada. Je pense qu’il serait intéressant de rester dans mon poste à cause des possibilités qui m’ont déjà été offertes, et de voir ce qu’il pourrait y avoir à l’avenir.

« J’aime travailler dans les services administratifs dans le domaine de l’application de la loi. »

Monika

Commis de soutien de l’Échange de renseignements en matière de criminalité

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