Cindy

Comment avez-vous commencé à travailler pour la GRC?

Il y a bien longtemps, j’ai simplement posé ma candidature auprès du gouvernement. J’ai été invitée à passer des tests et des entretiens, et une femme qui faisait partie du processus m’a vraiment aidée. Elle m’a servi de mentor et me voulait au sein de son unité.

J’ai fait partie d’une unité fédérale avec elle, puis j’ai été intégrée à l’unité de la sécurité routière. Le Lower Mainland venait de créer une nouvelle unité et elle m’a recommandée pour ce poste. C’était il y a près de 18 ans. Depuis, je suis commise à la circulation routière.

À quoi ressemble votre travail au quotidien?

Mon travail tout comme ma charge de travail dépend de la productivité de mes agents de police. Évidemment, plus ils créent de dossiers, plus j’ai de travail.

Je suis chargée du contrôle de la qualité et je suis responsable de la fermeture des dossiers. Je ferme tous les dossiers qui ne sont plus utiles aux fins d’enquête.

S’il n’y avait pas d’employé de bureau pour accomplir ce travail, je pense que beaucoup de choses passeraient inaperçues. Les agents sont formidables, mais leur cerveau fonctionne différemment et, parfois, ils ne se concentrent pas autant sur l’aspect administratif.

Qu’est-ce qui vous plaît dans le fait de travailler pour une organisation chargée de l’application de la loi?

Beaucoup de gens ont pensé que j’étais faite pour être agente de police. J’ai déjà fait du travail par poste et j’ai aussi travaillé de nuit, mais je me suis dit que cela n’arriverait plus jamais.

Je m’endors en écoutant « Forensic Files » tous les soirs; cela me berce pour m’endormir. Je pense que mon cerveau pense naturellement de cette manière.

C’est un peu comme assembler un puzzle. Cela semble naturel.